Quel sens donner à son existence ?
Depuis toujours, des hommes et des femmes aspirent à être en harmonie avec eux-mêmes et les autres, dans ce qu’on appelle une quête de la sagesse.
Frédéric Lenoir nous entraine aux confins du monde, vers ceux et celles qui tendent vers une vie meilleure.
Au Japon, de la pratique des tireurs à l’arc du Kyodo (la voie de l’arc) en passant par l’expérience du moine Zen Magami qui pratique la cérémonie du thé, tous recherchent la même perfection, la transformation de soi. Par leur rencontre, Frédéric Lenoir nous fait découvrir les différents supports de méditation et de travail sur soi.
Nous partons ensuite à Boston : John Kabat-Zinn, médecin et
initiateur de la mindfulness (pleine conscience) a prouvé par la neuroscience les effets positifs de la méditation sur le fonctionnement du cerveau. Elle peut aider à mieux vivre et même à trouver des voies de guérison.
Nous partons ensuite à Boston : John Kabat-Zinn, médecin et
initiateur de la mindfulness (pleine conscience) a prouvé par la neuroscience les effets positifs de la méditation sur le fonctionnement du cerveau. Elle peut aider à mieux vivre et même à trouver des voies de guérison.
Au Canada, Nicole Bordeleau a trouvé dans le yoga indien et le Qi Gong chinois une pratique qui travaille sur l’énergie et le souffle. Elle nous raconte comment en observant le simple lien physique qui la relie à la vie, elle donne à son souffle une dimension sacré.
Puis nous partons en Inde, à la source du Gange. C’est au bord de ce fleuve qu’est né le yoga et Nandini Tripathi qui l’enseigne nous apprend qu’il est « l’union ». A Varanasi, le cœur vibrant de l’hindouisme, nous rencontrons Bagwan Puri qui a tourné sa vie vers la quête de délivrance du samsara. Pour cela cet ascète nu au visage couvert de cendres a renoncé totalement au monde matériel.
Puis nous partons en Inde, à la source du Gange. C’est au bord de ce fleuve qu’est né le yoga et Nandini Tripathi qui l’enseigne nous apprend qu’il est « l’union ». A Varanasi, le cœur vibrant de l’hindouisme, nous rencontrons Bagwan Puri qui a tourné sa vie vers la quête de délivrance du samsara. Pour cela cet ascète nu au visage couvert de cendres a renoncé totalement au monde matériel.
Nous poursuivons le voyage sur les hauteurs himalayennes de Dharamsala, au sein d’une des quatre grandes écoles du bouddhisme tibétain, l’école Guelugpa, dont est issu le dalaï lama. Dans la nonnerie sont accueillies celles qui souhaitent se former au débat philosophique, une composante essentielle de la Sagesse qui permet de développer la connaissance à travers l’usage de la raison et de la dialectique.
A Paris, dans le droit-fil des écoles de la sagesse du monde antique, nous faisons la connaissance du philosophe André Comte-Sponville qui nous enseigne que la sagesse c’est l’art de vivre heureux. Nous terminons le voyage au Népal à Katmandou avec Matthieu Ricard, un moine bouddhiste au parcours de vie extraordinaire, qui place la grande compassion – Karuna – au sommet de toute sagesse.
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